Chambre rose [Nuit de Noce Erylis/Wade] [RP -16]

Wade avait laisser Erylis dans la chambre, en haut du grand hôtel. La dame avait un long moment pour se préparer. Le docteur lui avait rapidement descendu les quinze étages et était sortit. Il avait un arrangement et comptait bien réclamer son dû. Le parking était vaste et les revendeurs nombreux, mais Wade ne voulait pas de camelote, son jus devait être pure. Après quelques temps de prospection il trouva l'objet de ses désires, pour trois misérables billet, il s'offrait un trajet pour le paradis.

Dans une ruelle, il caresse le bout de la seringue, savourant d'avance son voyage. Il s'adosse au mur, ressert le garrot autour de son bras. Il ferme les yeux. Le métal dur et froid rentre en lui, la peau craque sous la pression, le liquide pénètre ses veines. C'est douloureux, comme une brûlure dans le bras. Elle s'étend, descend jusqu'au poignet, remonte dans l'épaule. Le jus se promène dans ses vaisseaux et Wade les sens tous. Puis c'est l'explosion, il a chaud, tout est bien. Sa tête danse au rythme du sang dans ses tempes. Plus rien n'existe, il n'y à plus que lui. Même la voix se tait, rien ne doit détruire cette apothéose. La brûlure n'existe plus, ce n'est plus qu'une chaleur diffuse dans tout ses membre. Il repense à ses matins d'été, quand il restait des heures durant dans un bain chaud, ça lui rappel ses longue nuit passé dans les bras d'inconnue. Ses yeux se rouvre, les lumières défilent, voiture, néo, flash, c'est magnifique. Les couleurs se mêlent et s'enlacent. Les battements de son cœur couvrent tout les autres sons. Il est dans sa bulle, il savoure. La douce caresse du vent le fait frémir. Puis, petit à petit, tout redeviens normal. Il à des fourmis dans les doigts, le monde ne tangue plus...

« Et le plus important : Je suis là »

Il reste contre son mur jusqu'à ce que tout sois comme avant, les lumières sont de nouveau agressive, les bruits violents, le vent froid. Il se relève en soupirant, passe une langue satisfaite sur ses lèvres et dit :

- Bon, maintenant on à une reine à satisfaire.
« Wai, d’ailleurs à se propos, c'est du triolisme non ? J'pense pas que le mariage polyandre sois légale tu sais »

Il sourit, tout va bien et encore une fois, il n'a rien eu à faire pour que ça arrive.

- Quand on sera roi, on réglera le problème.
« T'es encore perché ? »
- Nop
« Tu comptes vraiment devenir roi de Yokuba »
- Je me suis fait virer de mon taf de serveur je te rappel, faut bien que je trouve comment me nourrir.
« Deux choses : Fallait pas t'essuyer dans les yogourts à la framboise et je te rappel que si tu dilapidait pas tout les sous de tes vieux en boisson tu mangerais à ta faim. »
- Écoutes, je me suis pris une cuite phénoménal et me voilà roi. Je vais pas prendre de bonne résolution maintenant, si ?
« Tu es roi parce que tu voulais te défoncer »
- Et je me suis défoncé, maintenant laisse moi être roi.
« T'es pas possible toi... »
- Tu vas encore dire que c'est la faute de l'auteur c'est ça ?
« Pas exactement, mais c'est l'idée »
- Tu sais que t'es fou ?
« Tu sais que ça fait trois étages que tu parle tout seul ? »
- On a croisé des gens ?
« Deux ménagères, une prostitué, un garçon de chambre et un mec louche »
- Oops
« Yep »

Il s'arrêta net devant la porte de la chambre. Prit une grande inspiration et entra. Erylis l'attendait, majestueuse. Tout se passait comme prévu.

« Ici la voix, je tiens à avertir les lecteurs mineurs que le suite de ce rp risque d'être légèrement … Sexuel, nous vous prions donc de changer de page, merci ! »
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« maintenant ! illico »


HRP:/ coup de vent, je ferait la mise en page sur un vrai pc

« Il me plaît à penser, un visage angélique. Avec au fond des yeux, un soupçon lubrique. Visage de douceur, ange et démon à la fois. Que je n'pourrais toucher, sans m'y brûler les doigts. Une chevelure de Bird, sur une silhouette féline. Effet garantie, je vends mon âme en prime. J'aime sa peau mate et soyeuse à la fois. J'la suçoterais des heures, des semaines et des mois.Il me plaît à penser à une jolie poitrine. Délicatement posé, sur ce corps sublime. Des légers frottements, appliquer avec soins. Feraient tressaillir la pointe de ses seins. Je lui prodiguerais, avec ma langue experte. La plus douce des caresses, jamais offerte. J'atteindrais vite ensuite, sa zone secrète. Ou j'y resterais des heures, sans jamais être inerte. »

Wade posa délicatement ses lèvres sur celle de sa reine et murmura :
- Love you babydoll.

Il fit glisser lentement ses doigts sur la nuque de l'ingénue qui frémit, puis, faisant basculer la donzelle sur le dos Wade embrassa sa gorge. D'une main il défit le lacet de la robe de l'autre il caressait tendrement cuisses et mollets.  D'un mouvement d'épaule il jeta sa propre veste sur le sol. Sa partenaire défit un à un les bouton de sa chemise, desserra sa cravate bleu et les corps se collèrent. Il la sera contre lui, l'embrassant fougueusement. Les respirations, rythmes cardiaques s’accélérèrent. Il fit glisser la douce robe vers le bas, dévoilant une belle poitrine à peine masqué par de la dentelle noir. Le marié mordit goulûment dans les fruits défendu, volant un gémissement à Erylis.

"La libido est une faim comme une autre. Quand quelqu'un à faim, il ouvre le frigo et mange. Certains sont prêt à se nourrir de boite de conserves, d'autres préfère la viande de qualité. Une bonne tranche de steak à la peau luisante de transpiration caché sous de la dentelle noir.
Enfin quand il reste de la dentelle noir pour dissimuler les chaires intimes..."

L'affamé laisse courir ses ongles sur les courbes de sa partenaire, arrachant un soupir de plaisir à la demoiselle. A présent elle est couchée sur le dos dans les draps qu'elle sert dans ses poings.
Les lèvres de Wade courent sur sa partenaire, déposant des baisers étincelles sur les nerfs de son cou, de ses seins et de son ventre. Les mains du docteur glissait sur les courbe voluptueuse de sa mariée.
Elle se laissait aller et doucement sombrait dans les délicat plaisir de la luxure. Lentement il se laisse glisser jusqu'au noyau de l'univers.
Il jette un coup d’œil vers le corps de la belle, celui-ci frémit, sa respiration saccadée soulevait sa tendre poitrine. Il sourit et embrassa le fruit interdit. Faisant jouer sa langue et ses doigt sur les cordes sensibles il extirpe à son amoure une mélodie de gémissement. Chaque goute de son venin le rend un peu plus accro, il savoure se goût acide et attrape les hanche de la demoiselle. Il remonte au dessus d'elle, prêt à lui rendre les rênes de la situation.

"Je me demande si les princesse d'emeraude on eu droit à un cours d'éducation sexuel..."

Tu connaîtras les nuits fauves je te le promets
Elle sera tigre en embuscade quand tu viens te glisser sous ses draps
Tandis que toi tu feras scintiller tes canines lorsqu'elle enlève le bas
Elle t'offrira des feulements dans sa voix lorsqu'elle reprend son souffle
Qui s'échappent dans la cour pour aller faire gauler la lune
Des coups de bélier invoqués comme un miracle
Qui veulent dire "si tu t'arrêtes je meurs"

Encore frémissante des caresses de son amant, elle le vit s'avancer au dessus d'elle tel un prédateur qui fondrait sur sa proie. Sauf que cette dernière n'allait pas sagement se laisser faire..
Sans aucune résistance l'époux se retrouva sur le dos, tandis qu'une panthère aux yeux d'émeraudes se mouvait vers l'objet de sa convoitise, sa fontaine de jouvence. Sur le membre désiré ses lèvres se posèrent, doucement le parcoururent. Le fauve énamouré prit alors dans sa bouche délicate le sceptre de Vénus et deux mains vinrent se poser sur sa tête pour accélérer la cadence. Cette dernière devint effrénée, et sous les assauts d'Erylis le docteur feulait sans retenue. Dans un de ces moments qui sont inéluctables il inonda la gorge de la princesse et elle releva triomphalement la tête. Brûlante d'un désir qu'elle refrénait encore, Erylis vint rencontrer les lèvres du docteur et l'embrassa avec une tendresse aux reflets de fougue.