La forêt... Un endroit tranquille, paisible... La journée ! La nuit, la forêt sombre... Saphir, petit salamèche un peu curieux, n'était qu'une ombre dans le noir. Tout l'effrayait. Les branches des arbres qui ressemblaient à des mains tordues s'accrochant à sa peau, les racines sur lesquelles il trébuchait... Et le moidre bruit le faisait sursauter. Des rires étranges se faisaient entendre très souvent. Le petit Salamèche pleurait tout en courant. Manque de chance : il pleuvait. Son seul souhait à se moment là était de trouver un abri, et de quitter la forêt. Son souhait fut exaucé : Saphir se cogna contre une grande porte. Il recula, vascillant. Une masse sombre se trouvait devant lui. La porte était gigantesque, les fenêtres étaient condamnées et l'atosphère ne donnait vraiment pas envie d'entrer, mais Sapir préférait ça à la pluie. Vous devez le savoir, les salamèches, si leurs queues s'étaignent, perdent la vie. Cela aurait été dommage que Saphir meurt à un si jeune âge. Alors il entra, poussant la grende porte qui grinça. Dès lors, des rires sadiques vinrent perturbés le silence qui reignait juste avant. Le salamèche avança dans le couloir énorme et poussa l'une des portes. Il tomba sur une chambre. Il ne pu réprimer un baillement. La fatigue l'avait pris. Il s'allongea sur le lit mais à peine avait-il fermé les yeux qu'il senti des chatouillements. Des ectoplasma venait troubler son sommeil. Saphir se rassit et se mit à pleurer si fort que les ectoplasma en eurent mal à la tête. Ils traversairent le mur. Saphir voulait dormir mais il savait que s'il refermait l'oeil, les spectres reviendrait l'embêter alors il continua de pleurer.